« J’ai voulu raconter la police de l’intérieur, en dévoiler les coulisses et les chausse-trappes, les errements, les tâtonnements et les échecs comme les indéniables réussites. Cette vérité-là peut déranger. Elle est pourtant devenue nécessaire. Flic de terrain, je n’ai jamais
13 mai 1993, prise d’otages de l’école maternelle de Neuilly-Sur-Seine . Le RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuasion) est sur place. A la tête du groupe d’assaut, un homme, Daniel Boulanger. 46 heures de tensions et de négociations qui se solderont
C’est une première : le Raid raconté par ses patrons ! Six policiers sous le feu des questions posées par… l’actuel patron de l’unité d’intervention de la police nationale, Amaury de Hauteclocque ! C’est une autre première… Jamais, jusqu’à ce
Dans « Mémoires du Raid » Robert raconte sa carrière dans ce service prestigieux. Il dépeint des personnages attachants et revient sur les affaires les plus marquantes et les plus médiatiques de ce service de pointe. Celles, où il est intervenu, bien
sous les initiales du RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuasion) se cache un service pointu de la police nationale. Créé le 23 octobre 1985 , ce groupe ft de 160 hommes et femmes a fait la une de la presse à
Au fil du temps, l’empirisme qui présidait à la pratique de la « négociation » s’est transformé en une discipline aboutie. C’est aujourd’hui une vraie spécialité, riche et complexe. Le commandant Christophe Caupenne est le chef des négociateurs du RAID,
Ce livre présente pour la première fois l’ensemble des Groupes d’Intervention de la Police Nationale. Des grandes actions qu’ils ont effectuées jusqu’à leurs récentes interventions, on découvre dans cet ouvrage toute leur organisation, les épreuves de sélections, leurs entraînements réalistes,
Premier ouvrage sur la fameuse brigade anti-gang du 36 quai des Orfèvres qui se consacre à la fois à des missions de Police Judiciaire liées au grand banditisme et à l’intervention dans Paris en cas de prise d’otage… Ce livre
Aujourd’hui, la BRI (Brigade de Recherches et d’Intervention) se fait discrète, par essence, par nécessité, et n’en est que plus efficace. Mais l’Antigang a connu son heure de gloire médiatique dans les années 1970, lorsque le non moins médiatique Robert
Le commissaire Georges N’Guyen Van Loc, surnommé « Le Chinois » par le milieu a commandé pendant plus de quinze ans le GIPN de Marseille, Groupe d’Intervention de la Police Nationale qui, sous son autorité, est venu à bout des situations les
