“Ce ne sont manifestement pas des terroristes. Je pense qu’ils étaient en état d’ébriété», a commenté Brigitte Barèges, la maire de Montauban, une ville qui fut le théâtre d’une des tueries de Mohamed Merah en mars. Le GIPN (Groupe d’intervention de la police nationale) a obtenu la reddition d’un forcené à la mi-journée, puis a interpellé un peu plus tard un deuxième homme retranché dans le même appartement.

 Selon France 3 Midi-Pyrénées qui révélait l’information, l’homme disait posséder des grenades et des kalachnikovs.

Ils jetaient des briques par la fenêtre
L’affaire a débuté vers 9 heures par des jets de détritus par la fenêtre de cet appartement d’un quartier populaire du centre. La police de Montauban a été accueillie par des injures et des menaces émanant de deux hommes derrière la porte. Les forcenés disaient être armés  de kalachnikovs, ils ont jeté des tuiles, des briques et une bouteille de gaz, ce qui a conduit les autorités à demander le GIPN et à faire évacuer les habitants de l’immeuble.
Un de ces hommes s’est rendu peu avant midi, a indiqué la directrice de cabinet du préfet Marie-Josette Meyer à un correspondant de l’AFP. Il s’agirait d’un homme ayant séjourné en hôpital psychiatrique, selon la maire UMP de Montauban, Brigitte Barèges.

Peu avant 13 heures, les hommes du GIPN a fait sauter la porte de l’appartement du 3ème étage rue des Rondelles, et ont interpellé le deuxième homme.”

 
Source : Le Parisien – AFP

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