Après le déploiement de force et le bouclage du boulevard Wilson d’Antibes durant plus de trois heures, le retour à la normale a débuté à 17 h 30. Raid, police nationale, sapeurs-pompiers, chiens d’intervention spécialisés dans la détection d’armes et d’explosifs : le dispositif a paralysé l’artère centrale reliant Antibes à Juan-les-Pins.
 

Avec un point central, cible de toutes les attentions: le passage Marie-Antoinette. C’est après avoir été requis en début d’après-midi pour une détonation entendue par plusieurs riverains que les forces ont pris place aux abords de l’immeuble concerné de cinq étages.
Après quatre perquisitions parmi les quarante-cinq appartements de la résidence visée, le dispositif a été levé.
 
Origine toujours inconnue
Les riverains ont pu regagner leur domicile, les voisins confinés ont pu sortir à nouveau de chez eux. Si la piste du pétard à mèche est privilégiée, les forces de l’ordre préfèrent n’écarter aucun autre scénario possible et mènent l’enquête pour découvrir l’origine exacte de la détonation.
Aucune personne n’a été blessée. Aucune interpellation a eu lieu. Alors pourquoi un tel dispositif?
D’abord requis pour un coup de feu, nous avons plusieurs témoins qui confirment avoir entendu un bruit sourd. En période d’état d’urgence, à deux jours du 14-juillet, nous nous devons de vérifier sur place et de déployer un tel dispositif “, souligne le commissaire central Valérie Zettor. ”

 
Source : Nice Matin – article écrit le 12 juillet 2017 par M.D

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