« Un homme de 34 ans, s’est retranché chez lui pendant plusieurs heures vendredi à Nîmes. Il a d’abord visé les policiers venus le raisonner avant de se donner la mort.
C’est son ex-compagne qui a prévenu les policiers dans la soirée. L’homme venait de lui annoncer son intention de mettre fin à ses jours à cause d’une déception amoureuse. Les policiers se sont rendus sur les lieux, Chemin du Mas de Bois Fontaine, dans le secteur de la route de Générac.
L’homme s’était retranché chez lui, armé d’un fusil de chasse. A leur arrivée sur place, les policiers tentent de nouer le contact et de parler avec lui. Mais le forcené tire dans leur direction une première fois, sans atteindre personne.
Un policier de la BAC blessé
Devant la gravité de la situation, les forces de l’ordre ont décidé d’évacuer les voisins et de mettre en place un périmètre de sécurité. Dans le même temps, ils ont appelé en renfort les hommes du GIPN de Marseille, spécialisés dans ce type d’intervention. Le forcené tire une nouvelle fois. Un policier de la BAC, la brigade anti-criminalité de Nîmes, a été légèrement blessé à la main par un éclat.
Voyant qu’il est manifestement impossible de parlementer, les hommes du GIPN décident de donner l’assaut. Lorsqu’ils pénètrent à l’intérieur du domicile ils découvrent que l’homme s’est donné la mort avec son fusil. »
Source : FranceBleue.fr – article écrit le 28 octobre 2014 par Camille Payan et Hervé Sallafranque
L’homme s’était retranché chez lui, armé d’un fusil de chasse. A leur arrivée sur place, les policiers tentent de nouer le contact et de parler avec lui. Mais le forcené tire dans leur direction une première fois, sans atteindre personne.
Un policier de la BAC blessé
Devant la gravité de la situation, les forces de l’ordre ont décidé d’évacuer les voisins et de mettre en place un périmètre de sécurité. Dans le même temps, ils ont appelé en renfort les hommes du GIPN de Marseille, spécialisés dans ce type d’intervention. Le forcené tire une nouvelle fois. Un policier de la BAC, la brigade anti-criminalité de Nîmes, a été légèrement blessé à la main par un éclat.
Voyant qu’il est manifestement impossible de parlementer, les hommes du GIPN décident de donner l’assaut. Lorsqu’ils pénètrent à l’intérieur du domicile ils découvrent que l’homme s’est donné la mort avec son fusil. »
Source : FranceBleue.fr – article écrit le 28 octobre 2014 par Camille Payan et Hervé Sallafranque