“C’est un fait-divers inhabituel que relate Le Point, remontant à la semaine dernière. Un policier du GSRP, le Groupe de sécurité et de protection de la République, aurait fait malencontreusement usage de son arme à feu au rez-de-chaussée du palais présidentiel. La détonation, entendue dans toute la demeure, a mis en émoi les personnels y travaillant. Craignant une attaque terroriste au coeur même de la République, les gendarmes chargés de la sécurité de l’Élysée ont suivi le protocole prévu par le plan Vigipirate, activé à son niveau le plus élevé depuis janvier.
Une procédure que les responsables du GSPR n’ont eux, selon l’hebdomadaire, pas si bien suivie. En effet, l’incident n’a pas fait l’objet d’un rapport de la part du policier maladroit comme cela aurait dû être le cas. Malgré la double sécurité du Glock 26 dont les policiers sont munis, la balle a ricoché puis s’est encastrée dans un mur. Discrétion absolue du côté de la garde rapprochée du président, jusqu’à la réparation de l’impact, faite sans l’aide des ouvriers du Palais, auxquels cette tâche revient normalement.
François Hollande ne se trouvait pas dans les murs au moment de l’inquiétante bévue du fonctionnaire.”

Source : Le Dauphine.com – article écrit le 19 avril 2015

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